E verywhere
A lways
S
ee
Y ou
4 ans déjà, 4 ans seulement, comme si c’était
hier, tu t’endormais dans mes bras.
Cette terrible souffrance encore présente mais aujourd’hui je ressens
cette chance inouïe qui m’a été donnée d’avoir pu AIMER, T’aimer !!!
Par tes
fils, tes filles, tes petits fils ou petites filles ton sang, tes gênes
continuent de vivre ici sur Terre. Et on
peut tout me prendre mais la place que tu as dans mon cœur et l’Amour infini
que j’ai pour toi, ça personne ne pourra me le reprendre.
Chaque jour…
je me répète, je sais, mais c’est tellement mon quotidien :
TU N’ES PLUS LÀ OÙ TU ÉTAIS,
MAIS TU ES PARTOUT LÀ OÙ JE SUIS.
(VICTOR HUGO)